La Première ministre britannique, Theresa May, s’est rendue au Japon cette semaine pour tenter de rassurer les entreprises sur le Brexit et plaider pour un accord bilatéral de libre-échange. Les quelque 1 000 sociétés japonaises présentes au Royaume-Uni (dont les groupes automobiles Toyota, Nissan et Honda), qui y emploient 140 000 personnes environ, s’interrogent sur leur avenir. « Nous allons demander transparence et visibilité pour minimiser l’impact sur nos entreprises », a expliqué un responsable japonais chargé des Affaires européennes. (AFP)