Takata a démenti qu’il envisageait un dépôt de bilan, contrairement aux rumeurs qui circulaient dans la presse depuis plusieurs jours. « Le groupe ne prévoit pas d’opter pour un redressement judiciaire », a déclaré Takata dans un communiqué. Ce choix « rendrait difficile le maintien de la chaîne d’approvisionnement et perturberait donc la fourniture des airbags de remplacement », estime l’équipementier. (AFP)