Suzuki a annoncé avoir testé de façon inappropriée les performances énergétiques de 26 modèles de voitures, mais il a invoqué des « raisons économiques ». Suzuki a démenti avoir employé une méthode plus efficace (mais non homologuée) dans le but d’embellir les valeurs. « Après la crise financière internationale de 2008, Suzuki a manqué de ressources pour réaliser les tests », explique-t-il. Le groupe admet ainsi avoir considéré comme justes les méthodes moins coûteuses mises en oeuvre qui consistaient en une extrapolation des performances globales des véhicules à partir de mesures disparates des capacités de chaque pièce. (AFP)