Sergio Marchionne souhaite le succès du référendum sur la réforme constitutionnelle qui aura lieu le 4 décembre en Italie, mais a assuré ne pas être inquiet des conséquences d’une éventuelle victoire du non. En cas de rejet de la réforme, « le marché saura s’adapter », a-t-il assuré. « Cela me déplairait énormément que ce soit un non. La réforme n’est pas parfaite, mais quelque chose doit être fait », a-t-il estimé, redoutant que l’Italie laisse penser qu’elle n’est « pas prête à changer ». (AFP)