Nouveaux modèles, développement des exportations, maîtrise des coûts, etc. Secoués par la crise, les constructeurs français commencent à retrouver le sourire en Amérique latine. Une crise qui a été particulièrement difficile à gérer au Brésil, où le marché s’est effondré de 40 % en trois ans sur fond de récession. « Nous espérons être en fin de cycle bas », indique Olivier Murguet, président de Renault dans la zone Amériques. Le groupe table sur une stabilité du marché en 2017, après une baisse de 20 % cette année. (Echos)