Les autorités sud-coréennes ont annoncé mardi engager des poursuites à l’encontre de Nissan, accusé d’avoir manipulé les émissions polluantes des moteurs diesel d’un de ses modèles phare, le crossover Qashqai. Le gouvernement a par ailleurs ordonné l’interdiction dans le pays de la vente du véhicule en cause. Nissan a de nouveau démenti toute manipulation de données. « Nous maintenons que nous avons respecté les régulations existantes, nous n’avons pas utilisé de système arbitraire et injustifié ni de dispositif illégal dans le véhicule », a réagi le groupe. (AFP)