Le véhicule autonome est un « vaste chantier » pour les assureurs avec pour question centrale la responsabilité entre le conducteur et la machine. « La nouveauté du véhicule autonome, c’est de déterminer qui était en charge de la conduite au moment de l’accident », souligne Jean-François Huère, délégué chez PSA aux nouvelles mobilités, véhicules connectés et autonome. L’installation d’un enregistreur de données au coeur du véhicule (un peu comme les « boîtes noires » dont sont équipés les avions) est une solution envisagée. « Cela va probablement être réglementaire », avance M. Huère qui y voit « un intérêt pour tous ». (AFP)