La fusion entre Fiat et Chrysler est en bonne voie, la totalité du montant des « droits de retrait » exercés par les actionnaires n’atteignant pas le couperet des 500 millions d’euros, s’est réjouie l’entreprise italienne. Dans un communiqué, Fiat, qui détient depuis janvier 100 % du capital de Chrysler, s’est dit « proche de conclure le processus de détermination du nombre d’actions pour lesquelles le droit de retrait a été exercé par les actionnaires de Fiat. »Sur la base des communications et des certifications reçues, Fiat a établi que la limite de 500 millions d’euros n’avait pas été dépassée », affirme le constructeur. Son administrateur délégué, Sergio Marchionne, s’est déclaré « rassuré sur le fait que la grande majorité de nos actionnaires continuent à nous faire confiance ». (AFP)