La Cour suprême américaine a notifié qu’elle rejetait l’appel de l’Argentine sur sa dette, créant un risque de défaut. L’appel de l’Argentine porte notamment sur sa condamnation à rembourser 1,33 milliard de dollars à des fonds spéculatifs. L’Argentine pourrait donc devoir faire face à une nouvelle crise d’envergure, comme celle du début des années 2000. Une situation qui représente une menace directe pour les constructeurs français, qui détiennent plus du quart du marché automobile argentin. D’autres constructeurs, tels que Volkswagen, Fiat, Ford, GM via Chevrolet et Toyota, sont aussi exposés à une inflexion économique dans ce pays. (Journal de l’Automobile)