FO a annoncé le 21 décembre qu’il signerait l’accord d’entreprise du groupe Renault proposé mi-décembre après neuf séances de négociations et portant sur l’emploi et la flexibilité pour les trois prochaines années. Le syndicat, qui pèse 12,8 % au sein du constructeur, est le premier à arrêter sa position. « Au fur et à mesure des négociations, il y a eu des avancées, notamment sur le temps de travail qui était le point dur », a déclaré FO pour justifier sa décision. Les garanties sur un volume de production minimum égal à celui de 2016, sur l’investissement et sur les recrutements ont motivé la signature du syndicat. (AFP)