Faurecia a annoncé le 2 décembre la création de deux coentreprises en Iran, pays à nouveau ouvert aux investissements après la levée de sanctions liées à son programme nucléaire. Ces deux nouvelles sociétés conjointes, détenues à 50 % par Faurecia et 50 % par des partenaires iraniens, fabriqueront respectivement des systèmes de contrôles des émissions des moteurs, notamment des échappements, et des pièces pour les intérieurs de véhicules (planches de bord, panneaux de porte, etc.). (AFP)