Carlos Ghosn a indiqué que le constructeur ne ressentait pas encore de « gêne particulière » en Russie, où le marché automobile s’effondre sur fond de conflit en Ukraine, mais a évoqué un impact « important » si la situation se détériorait encore. « Renault possède des enjeux majeurs sur le marché russe, le deuxième d’Europe après l’Allemagne ». « Nous déplorons bien sûr la compression du marché russe alors que c’est un marché qui a un potentiel beaucoup plus important que ce que nous voyons aujourd’hui », a-t-il ajouté. Mais « pour l’instant, je dirais qu’il n’y a pas de gêne particulière à nos activités, nous continuons nos activités en Russie, sans contraintes ». (AFP)