Aston Martin, qui fabrique toutes ses voitures au Royaume-Uni et exporte 80 % de sa production, profitera d’une baisse de la livre face à l’euro, mais cet avantage pourrait être annulé par deux facteurs qui constituent aujourd’hui deux inconnues – l’impact du Brexit sur le marché des voitures de luxe et la question des droits de douane entre le Royaume-Uni et l’UE -, a indiqué le patron du constructeur de voitures de sports britannique Andy Palmer à Automotive News Europe. Le gouvernement britannique doit engager rapidement des négociations commerciales avec l’Union européenne et chercher à négocier un accord libre de droits, a ajouté M. Palmer.