Après Honda, qui a décidé de ne plus utiliser de gonfleurs d’airbags Takata dans ses nouveaux véhicules, se disant « profondément troublé » par le comportement de l’équipementier, c’est au tour de Mitsubishi d’envisager de tourner le dos à Takata. D’autres constructeurs pourraient suivre, notamment Nissan, qui a déclaré être « surpris et mécontent » d’apprendre que Takata avait « maquillé des données ». De son coté, Fiat Chrysler a fait savoir qu’il remplacerait les gonfleurs d’airbags de ses voitures rappelées aux Etats-Unis uniquement par des pièces venant d’autres fournisseurs ». (Nikkei Asian Review)