Après des semaines d’atermoiements, la commission d’enquête Volkswagen devait enfin voir le jour officiellement au Parlement européen, mercredi 2 mars. Les eurodéputés sont censés, lors de cette séance inaugurale, s’entendre sur le nom de leur président, des quatre vice-présidents et des deux « corapporteurs », en charge de la rédaction de « recommandations », dans les mois qui viennent. Sur le papier, l’ambition est d’établir le plus précisément possible les émissions réelles en gaz polluants des voitures. Le scandale Volkswagen a en effet montré l’existence d’abus chez nombre de constructeurs, au-delà de la seule tricherie du groupe allemand. (Monde)