Bien que 19 000 voitures soient concernées par le scandale des moteurs truqués en Estonie, le ministre des Finances et de l’Economie du pays a fait savoir qu’il n’existait aucune raison valable en droit fiscal justifiant le paiement d’une amende ou de dédommagements par Volkswagen. En effet, l’Estonie n’a pas mis en place de taxe « environnementale » sur les véhicules, ainsi l’Etat n’a pas subi de dommages financiers directs. (AUTOMOBILWOCHE 18/11/15)