Selon le Wall Street Journal, qui cite des sources proches du dossier, Takata envisage de placer sa filiale américaine sous la protection de la loi sur les faillites.
Takata évalue cette possibilité, parmi d’autres, face aux coûts exorbitants des millions de rappels, ce qui lui permettrait de dégager la voie pour un investisseur extérieur. Le groupe pourrait aussi mettre en oeuvre cette procédure au Japon, ont ajouté ces sources.
Aucune décision n’a été prise pour le moment et les discussions se poursuivent avec les différentes parties concernées, a réagi Takata.
Takata avait mandaté au printemps la banque d’affaires Lazard pour l’aider à trouver des soutiens afin d’orchestrer un programme de restructuration. Au moins cinq candidats sont sur les rangs. (AFP 11/10/16)