Un nouveau rebondissement vient relancer l’affaire des moteurs truqués du groupe Volkswagen. En effet, un lanceur d’alerte aurait dénoncé les manipulations des niveaux d’émissions dès 2011, en informant un défenseur des droits (dans le cadre d’une procédure mise en place par le groupe allemand dès 2005 – suite à un scandale au sein du comité d’entreprise- pour faciliter les démarches des lanceurs d’alerte).
Toutefois, le défenseur des droits (« Ombudsman ») informé n’aurait pas fait de rapport, estimant qu’il s’agissait d’un problème qu’il valait « mieux laisser de côté ».
Source : AUTOMOBILWOCHE (18/11/18)Par Cindy Lavrut