Le 30 mars, Renault a mis la plupart de ses salariés tertiaires d’Ile-de-France en chômage partiel pour s’adapter à la baisse d’activité provoquée par l’épidémie de coronavirus, en utilisant le dispositif mis en place par l’Etat. « Après deux semaines d’arrêt de l’activité industrielle et commerciale, il faut adapter le temps de travail des collaborateurs », a déclaré à Reuters une porte-parole du groupe au losange.
A compter de ce jour et jusqu’à nouvel ordre, les salariés du tertiaire seront en télétravail le matin et en chômage partiel l’après-midi, à l’exception d’un petit nombre de personnes maintenues à plein temps pour assurer des fonctions essentielles de l’entreprise (sécurité, maintenance, communication, etc.)
Hors tertiaire, toutes les usines du constructeur à travers la France restent quant à elles en chômage complet.
Source : REUTERS (30/3/20)Par Alexandra Frutos