Mitsubishi Motors a avoué avoir utilisé des tests inappropriés au cours des 25 dernières années, et non depuis 2013 comme le groupe l’avait indiqué dans un premier temps. Le scandale de fraude, jusqu’ici cantonné au Japon sur une courte période, menace donc de s’étendre.
« Nous avons utilisé cette méthode pour le marché intérieur depuis 1991 », a déclaré un responsable du groupe lors d’une conférence de presse, mais « nous ne connaissons pas encore le nombre de modèles concernés ».
Mitsubishi avait reconnu, il y a quelques jours, que quatre modèles de mini-voitures, tous vendus au Japon, étaient concernés par ces fraudes. Il s’avère désormais que ce sont « plusieurs dizaines » de modèles qui seraient touchés. (AFP 26/4/16)