Le tribunal de Mayence a jugé que les mises à jour logicielles imposées dans le cadre d’un rappel liés au scandale des moteurs truqués étaient obligatoires, sans quoi les propriétaires des voitures concernées pourraient se voir interdire l’usage de leur véhicule.
Le tribunal a pris cette décision suite à une procédure lié au refus d’un propriétaire de Seat (qui faisait l’objet d’un rappel suite à l’affaire Volkswagen) de faire installer la mise à jour logiciel sur son véhicule.
Source : AUTOMOBILWOCHE (21/11/18)Par Cindy Lavrut