L’affaire Volkswagen provoque du chômage partiel chez les fournisseurs du constructeur de Wolfsburg.
Ainsi, en février, 322 salariés de 43 sociétés ayant Volkswagen pour client ont subi des mesures de chômage partiel en Allemagne.
En février 2015, aucune de ces entreprises n’avaient eu recours à cette mesure, indique une étude de l’agence pour l’emploi Helmstedt, qui veut ainsi démontrer l’impact négatif du scandale des moteurs truqués.
Le syndicat IG Metall estime que l’agence Helmstedt surestime le problème. En effet, les carnets de commandes des 16 principaux équipementiers du Land de Basse-Saxe (où se situe le siège de Volkswagen) seraient restés stables. (AUTOMOBILWOCHE, HANDELSBLATT 1/4/16)