Alors que l’organisme de contrôle technique allemand TÜV avait accusé le gouvernement allemand de l’empêcher de faire des recherches sur les logiciels de gestion des moteurs (qui ont permis la manipulation des tests antipollution dans le cadre de l’affaire Volkswagen ; voir la revue de presse du 23/11/15), le gouvernement fédéral a au contraire déclaré qu’il était totalement possible pour le TÜV d’étudier ces logiciels. (FRANKFURTER ALLGEMEINE ZEITUNG 4/12/15)