Saisi par des députés de l’opposition, le Conseil d’Etat a estimé, le 25 juillet, qu’il n’y avait pas d’urgence à examiner la légalité du décret sur le 80 km/h, qui « demeure par conséquent applicable jusqu’à ce que le Conseil d’Etat se prononce ».
Source : FIGARO (26/7/18)Par Alexandra Frutos