Les immatriculations de voitures particulières roulant au gazole ont chuté de 17,1 % au mois de mars, à 76 311 unités, passant à 33,8 % de part de marché. Les automobilistes ont privilégié d’autres énergies, à commencer par l’essence. Près de 135 000 véhicules neufs à essence ont été immatriculés en mars, en hausse de 7,1 %. Ce type de motorisation avoisine désormais les 60 % de part de marché. L’hybride a également tiré profit de la situation avec 9 682 immatriculations enregistrées le mois dernier, en progression de 9,2 %, et une part de marché de 4,3 %. Belle performance enfin pour l’électrique, qui a atteint 2 % de part de marché avec 4 610 immatriculations (+ 13,9 %).
Entre janvier et mars, 323 951 VP neufs roulant à l’essence ont été immatriculés, un volume en croissance de 8,9 %, représentant une part de marché de 58,5 %. Les modèles diesel, dont les immatriculations ont reculé de 15,5 %, ont à peine dépassé 190 000 unités, pour une part de marché de 34,5 %. Dans ce contexte, l’hybride et l’électrique sont bien orientés. La première alternative pointe à 26 883 immatriculations (+ 5,8 % et 4,9 % de part de marché), la seconde à 10 548 unités (+ 44,4 %, 1,9 % de part de marché). A noter que le marché de l’hybride est porté par Toyota (56,4 % du marché) et celui de l’électrique par Renault (40 % du marché).
Source : JOURNALAUTO.COM (2/4/19)Par Alexandra Frutos