La Chine veut encourager les importations parallèles dans ses zones de libre-échange, dans lesquelles des véhicules peuvent être importés sans l’autorisation des constructeurs.
Le gouvernement chinois avait en premier lieu autorisé les importations parallèles en février dernier (cf. revue de presse du 10/2/15). Officiellement, les importations parallèles n’étaient initialement autorisées que dans la zone de libre-échange de Shanghai, dans le but de promouvoir la concurrence et de donner plus de choix aux consommateurs.
Cette mesure reste considérée comme un moyen de forcer les marques de haut de gamme à diminuer les prix de leurs modèles, dans le cadre d’une campagne anti-monopole.
Actuellement, la Chine dispose de plusieurs zones de libre-échange où sont autorisées les importations parallèles, à Shanghai (le projet-pilote), mais aussi à Canton, Tianjin et Fujian. (XINHUA NEWS 4/3/16)