D’après une déclaration adressée le 6 avril par Renault à l’AMF (Autorité des marchés financiers), l’Etat français détient désormais 26,05 % des droits de vote du constructeur, en vertu de l’application de la loi Florange sur les droits de vote double. Dans cet avis à l’AMF, l’Etat confirme envisager de céder, en fonction des conditions de marché, 14 millions d’actions Renault, ajoutant qu’il entend conserver ses deux représentants au conseil d’administration du groupe. L’Etat détient actuellement 19,74 % du capital du Renault, via l’Agence des participations de l’Etat (APE). (REUTERS 6/4/16)