Des investisseurs d’Abu Dhabi, qui avaient manifesté une marque d’intérêt pour la reprise de l’usine de véhicules électriques de SITL, ont finalement renoncé à présenter une offre à l’administrateur. Ils avaient envisagé d’investir 30 millions d’euros dans cette unité lyonnaise pour fabriquer notamment des voitures électriques destinées aux pays du Golfe et du Moyen Orient. Face à une opération qu’ils ont jugée « trop complexe », ils ont toutefois « préféré suspendre leur offre ». (ECHOS 15/4/14)