BMW milite pour le Partenariat transatlantique de commerce et d’investissement (TTIP). « J’y vois un potentiel énorme », a souligné Klaus Draeger, responsable des achats du groupe munichois.
En effet, le TTIP permettrait l’adoption de normes communes en Europe et aux Etats-Unis ce qui réduirait les coûts de production et de développement de certaines pièces qui doivent respecter différentes normes selon les marchés.
En outre, M. Draeger estime que le TTIP permettrait une uniformisation des normes et exigences pour les tests de chocs. Or, réaliser plusieurs tests de chocs pour pouvoir commercialiser un véhicule sur différents marchés multiplie les coûts.
Les Etats-Unis et l’Union Européenne sont en discussions concernant le TTIP depuis février 2013. (AUTOMOBILWOCHE 21/3/15)